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Encyclopédie internationale
des histoires de l’anthropologie

Le Dictionnaire international des folkloristes contemporains. Historique

Claudine Gauthier

IIAC-LAHIC, Université de Bordeaux

2011
Pour citer cet article

Gauthier, Claudine, 2011. « Le Dictionnaire international des folkloristes contemporains. Historique », in Bérose - Encyclopédie internationale des histoires de l'anthropologie, Paris.

URL Bérose : article518.html

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Publié dans le cadre du thème de recherche « Réseaux, revues et sociétés savantes en France et en Europe (1870-1920) », dirigé par Claudie Voisenat (Ministère de la Culture, Héritages) et Jean-Christophe Monferran (CNRS, Héritages).

Le Dictionnaire international des folkloristes contemporains publié par Henry Carnoy en 1902 n’a pas correspondu à une initiative isolée. Celui-ci s’inscrit, en effet, dans le cadre de la très vaste collection des grands dictionnaires biographiques internationaux – qui aurait dû comporter 25 volumes – qu’il a entièrement créée et dont il n’est pas seulement le directeur littéraire mais aussi l’éditeur. Dès le 25 mars 1895, l’ensemble des titres de la collection est déposé. Ils englobent des sujets aussi divers que les hommes du Nord ; les hommes du Midi ; les hommes de l’Est ; les membres du clergé catholique ; les membres du monde politique ; les grands négociants et industriels ; les membres de sociétés savantes ; Les écrivains ; les artistes et collectionneurs ; les médecins, chirurgiens, physiciens, chimistes et naturalistes ; les inventeurs, ingénieurs, constructeurs, agriculteurs, viticulteurs et horticulteurs, etc. Chaque volume est conçu selon le même principe : Carnoy lance une circulaire qu’il adresse aux personnes susceptibles d’apparaître dans une notice de tel ou tel volume, en leur demandant de lui fournir des notes biographiques très complètes de 150 à 250 lignes, ainsi qu’un portrait. La publication de chacun de ces éléments a un prix, qui se marchande au besoin [1]. À l’origine le coût de la notice est de 20 francs et celui du cliché photographique de 15 francs. Dès 1895, le prix de ce dernier est majoré à 25 francs [2]. Les tarifs de l’un et l’autre ne cesseront d’augmenter au fil des années. Leur insertion dans un des dictionnaires de la collection est présentée comme l’équivalent d’une souscription à la publication du volume. Tous ceux dont les noms figurent dans ces ouvrages ont donc également accepté d’être leurs souscripteurs. On voit bien le problème posé par ce principe, qui préside à l’élaboration de leur contenu, du point de vue de la valeur encyclopédique de cette série qui est ainsi soumise, dès la base, à un biais conséquent. Lors de la publication du premier volume, le Dictionnaire des hommes du Nord, en 1896, Carnoy estime que l’ensemble de la collection sera éditée à l’occasion de l’exposition universelle de 1900 où il compte la présenter [3]. Il espère qu’elle sera reçue comme « une des publications les plus curieuses et les plus utiles de notre époque [4] ». Il en ira autrement, la publication des volumes suivants étant émaillée de nombre de difficultés matérielles, au sujet desquelles Carnoy s’explique peu à ses souscripteurs, et qui le contraindront à les éditer plus tardivement et à son nom, trois éditeurs successifs s’étant retirés de l’entreprise [5]. Derrière un but affiché d’ordre purement scientifique et littéraire, Carnoy a également des visées pécuniaires qui seront déçues bien vite. Comme il le confie à Félix Arnaudin, « ce genre de travaux revient à des prix fous ». Il a d’abord perdu 40 000 francs avant de parvenir à rentrer dans ses frais, en dépit d’un excellent accueil de la presse et du monde savant [6]. En 1903 il justifie une nouvelle modification des conditions de souscription par le besoin de ne pas accuser de perte financière [7].

De nombreuses ambiguïtés apparaissent concernant tant l’ordre dans lequel ont été publiés les premiers volumes de cette collection que le mode de rédaction des notices de ces dictionnaires. Carnoy, en effet, fait précéder chacun d’eux d’une introduction qu’il a rédigée entre 1894 et 1897. Aucune date n’est précisée sur la page de titre de ces volumes et l’on doit compter uniquement sur celle indiquée à la fin de ces ouvrages, accompagnant la mention de l’imprimeur, pour savoir quand ceux-ci ont effectivement été édités. Seulement cette précision n’apparaît pas toujours. En outre, il semble qu’il ne faille pas se fier au numéro d’ordre donné aux volumes. À la fin de celui consacré aux membres des sociétés savantes, publié sans date, Carnoy établit la liste des dictionnaires en souscription après avoir expliqué que le succès rencontré par la publication des deux premiers volumes l’encourage à développer cette série. Sont alors cités comme ayant déjà été édités les Dictionnaire des hommes du Nord et celui des folkloristes contemporains [8]. Or ce dernier est classé comme correspondant au dixième volume de la collection. Concernant la composition des notices, Henry Carnoy affirme à plusieurs reprises, dans ses introductions, sa volonté de livrer des données « d’une impartialité scrupuleuse [9] », où les jugements portés sur les hommes se distingueront par leur exactitude et leur sobriété. Il s’engage à ce que les renseignements demandés aux intéressés eux-mêmes soient vérifiés avec le plus grand soin de façon à ne publier que « toute la vérité et rien que la vérité [10] ». Il promet aussi que les notes biographiques adressées seront réécrites par un tiers [11], ces éléments biographiques ne devant pas « satisfaire des instincts peut-être naturels de vanité humaine, mais (...) préciser les œuvres de nos contemporains [12] ». En dépit de ces affirmations, dans les faits, il semble pourtant que nombre de notices n’aient pas été soumises à un travail de rédaction ultérieur, mais publiées telles que les lui ont communiquées les intéressés, et constituent ainsi une véritable « autobiographie à la 3e personne [13] ».

L’introduction du Dictionnaire international des folkloristes contemporains, datée de juillet 1894, légitime la publication d’un tel volume par l’intérêt croissant que suscite le folklore tant en Europe qu’en Amérique. Carnoy y évalue à plusieurs milliers le nombre de personnes qui travaillent au progrès de ces études dans le monde. Il assigne pour but à cet ouvrage de dresser un tableau d’ensemble des folkloristes à l’échelle mondiale, permettant également de fournir de précieuses indications bibliographiques qui resteraient, autrement, inaccessibles. Ce volume étant présenté comme constituant seulement un premier tome, il y appelle « tous les folkloristes » à lui adresser une notice bio-bibliographique aussi complète que possible, de façon à viser l’exhaustivité. Il encourage également le lecteur à lui signaler toute personne dont il remarquerait l’omission [14]. En effet, en dépit de la prodigue évaluation par Carnoy du nombre des folkloristes à son époque, ce dictionnaire compte seulement 141 entrées. Celles-ci n’ont été soumises à aucun classement alphabétique ou chronologique, laissant ainsi penser qu’elles ont simplement été présentées dans l’ordre de leur réception par le directeur littéraire de la collection. Bien que le sous-titre de l’ouvrage précise que ce dictionnaire contient « tous les folkloristes notables des deux mondes », Carnoy se contente donc de regrouper quelques-uns des plus fameux folkloristes de l’époque, en se limitant à l’Europe – contrairement à ce que laissait entendre l’introduction – tout en omettant des noms particulièrement prestigieux tels ceux d’Henri Gaidoz, de Gaston Paris, d’Andrew Lang, qui exerça la fonction de président de la Folklore society à Londres, ou encore de Friedrich Salomon Krauss, mais aussi ceux de folkloristes dont les noms sont moins connus de nos jours, mais qui étaient alors très productifs comme Alcius Ledieu ou Jean-François Bladé. Quelques notices paraissent à titre posthume (Paul Arène ; H. E. Caffiaux ; M. Dragomanow ; J. Fleury ; A. Hock ; E. Magitot ; J. Périn ; H. d’Orléans ; P. Ristebuhler ; R. Stiebel ; C. A. sorel ; A. J. de Tesson ; J. P. Tamizey de Larroque) en raison de la longue gestation – de pas moins de huit ans – qui a précédé la publication de ce dictionnaire. Ce fait est signalé uniquement au moyen d’une croix précédant leur nom dans l’index alphabétique placé à la fin du volume, sans que jamais il ne soit fait allusion à leur décès dans la notice les concernant [15].

Passés les renseignements concernant les distinctions reçues, le lieu et la date de naissance et la profession, la grande disparité de forme et de style des différentes notices de ce dictionnaire vient confirmer que nombre d’entre elles ont été rédigées directement par les intéressés. Les consignes de longueur ont généralement été respectées à quelques exceptions près. La plus notable concerne René de Kerviler, dont la notice occupe pas moins de cinq pages, et qui retrace dans le moindre détail ses activités, tant d’ingénieur, d’historien, d’archéologue puis, enfin, de folkloriste et de poète, avant d’entamer un petit résumé de l’ensemble. Outre son portrait, des photographies de son manoir et de son cabinet de travail sont également publiées [16]. Une notice pourtant, et pas la moindre étant donné l’importance du personnage pour le développement du folklore français, a manifestement été soumise à un travail de rédaction ultérieur : celle d’Eugène Rolland. Plusieurs indices permettent de s’en rendre compte. Tout d’abord, le mot folklore n’y est employé qu’une fois au profit du terme traditionnisme, qui caractérise le courant incarné par Carnoy dans ces études. À l’issue d’un rappel de la genèse de l’intérêt des intellectuels pour la matière populaire, le « je » fait inopinément irruption, alors qu’il n’apparaît jamais ailleurs dans l’ouvrage. En outre, Rolland est désigné comme celui qui, seul, a permis de gagner le monde savant à la cause du folklore. Mais, cette bataille, il l’a remportée grâce à une intense collaboration scientifique avec Henri Gaidoz, dont le nom ne sera mentionné que subrepticement, quelques paragraphes plus tard, en évoquant la fondation de Mélusine... On a bien du mal à imaginer Eugène Rolland décidant délibérément d’éclipser à ce point celui qui a été son collaborateur le plus proche pendant près de trente ans. Or, dans sa propre notice, Carnoy explique qu’il en est venu à s’intéresser au folklore après avoir lu le premier numéro de Mélusine. Mais, là encore, Gaidoz disparaît bien vite : de ses deux co-directeurs, Carnoy ne parle que du seul Eugène Rolland auquel il dit vouer une profonde reconnaissance parce qu’il l’a encouragé à poursuivre dans cette voie [17]. De plus, quand la notice consacrée à Rolland évoque sa bibliographie, une remarque disant que sa première publication est « à notre connaissance » son Vocabulaire du patois messin, laisse également entendre que ce dernier n’en a pas été l’auteur. Rolland ayant été d’ordinaire particulièrement peu disert sur les détails de sa vie dans ses publications [18], les termes dans lesquels est rappelé comment, lors d’un dîner de Ma Mère l’Oye, celui-ci « président incontesté de notre modeste clan », a été pris pour Zola, pèsent également en faveur d’une rédaction par Carnoy de cette notice qui se clôt sur un passage à la gloire du traditionnisme français où des trois revues de folklore existant alors, La Tradition, qu’a fondée Carnoy, est citée la première. À la vue de tous ces indices, on peut même légitimement se demander dans quelle mesure Rolland n’a pas constitué une exception encore bien plus grande : a-t-il seulement envoyé des notes bio-bibliographiques à Carnoy ; n’a-t-il pas, comme Henri Gaidoz, omis de souscrire à ce dictionnaire ? L’admiration de Carnoy pour celui qu’il considère comme le fondateur des études de traditionnisme en France pourrait fort bien, en effet, l’avoir encouragé à rédiger lui-même cette notice et à la publier sans même demander le moindre écot à Rolland. Par ailleurs, l’inimitié latente de Carnoy pour Gaidoz, qui se dessine en creux au travers de sa figuration d’Eugène Rolland, peut expliquer pourquoi aucune notice le concernant n’apparaît dans ce dictionnaire et pourquoi Andrew Lang, qui est un grand ami de Gaidoz, n’y figure pas non plus. En revanche, ce fait n’explicite en rien l’absence de Gaston Paris que Carnoy associe pourtant étroitement aux études de folklore [19], ni celle de Bladé, de Ledieu ou de Krauss... Seules des hypothèses peuvent être lancées : ont-ils été lassés par la lenteur de l’entreprise, entravée par des ennuis de toute sorte et au sujet desquels Carnoy communique peu [20], par l’augmentation constante des coûts au fil des années, ou encore, simplement, par le principe même de la souscription présidant à la présentation de tout homme dans une œuvre se voulant, pourtant, scientifique ?

Quand ce dictionnaire peut finalement paraître, en 1902, Carnoy s’est déjà rendu compte que la vaste entreprise de la collection des dictionnaires internationaux n’est pas aussi lucrative qu’il l’escomptait même si, dans les introductions des volumes publiés à cette époque, il tient encore à la présenter comme un véritable succès [21]. Il prend donc le parti de poursuivre son œuvre en la recentrant. Il réunit alors chacun des sujets de la collection en un seul dictionnaire. Le premier tome du dictionnaire des folkloristes se clôt ainsi sur un avertissement annonçant que les tomes II et suivants seront publiés dans un « Dictionnaire international des Écrivains, folkloristes etc. [22] ». Dès 1903 paraît effectivement, sous un titre monumental, un Dictionnaire biographique international des Écrivains, des artistes, des membres des sociétés savantes, du clergé, du monde diplomatique, politique et administratif, du Barreau, de la Magistrature, de la Haute société, des folkloristes, voyageurs et géographes, des Médecins, chirurgiens, chimistes et naturalistes etc. ». Seules 37 notices y sont consacrées à des folkloristes. Ce nouveau volume autorise, enfin, la parution de celle consacrée à Félix Arnaudin, dont Carnoy n’a jamais expliqué à son auteur, qui s’en plaint, pourquoi il ne figurait pas en définitive dans le Dictionnaire des folkloristes [23]. Les notices concernant huit folkloristes, qui sont ici plus détaillées, apparaissaient déjà dans le volume qui leur a été spécialement consacré en 1902 [24]. Un autre volume paraît, sans doute quelques années plus tard [25], sous un titre similaire. Une nouveauté notable semble avoir présidé à sa réalisation, puisqu’il y est précisé que celui-ci a été rédigé par Henri Carnoy. Mais le fait se laisse peu saisir à la lecture de l’ouvrage, hormis dans la notice consacrée à Gabriel Haon où, lors de l’évocation du compte rendu de ses travaux dans La Tradition par Beaurepaire-Froment, ce dernier est appelé « mon érudit collaborateur [26] ». Seulement 10 folkloristes sont recensés ici [27] ; ils ne figuraient pas dans les deux volumes précédents. En 1909, Heny Carnoy publiera un ultime volume de ce dictionnaire général dans lequel figurent seulement 11 nouveaux folkloristes [28]. Pour la première fois, plusieurs notices y sont signées par des tiers, dont Henry Carnoy, phénomène qui laisse entendre que ce dernier a effectivement souhaité rompre, au moins partiellement, avec le principe de l’autobiographie pour chercher à donner aux matériaux publiés dans sa collection une objectivité qui a manqué aux premiers volumes.

Au final, cette collection comptera seulement seize volumes, au lieu des vingt-cinq annoncés lors du lancement de l’entreprise.




[1Latry, 1999, p. 155-156. Une précision de l’introduction du volume sur les membres des sociétés savantes laisse entendre que certaines notices pouvaient être rédigées sans que les intéressés aient fourni de notes biographiques. Cf. Carnoy, s.d., p. VI.

[2Latry, 1999, p. 155-156. En 1895, Carnoy écrit à Arnaudin qu’il veut bien publier sa notice avec portrait au prix initial, soit pour 35 francs. En 1896, il lui réclame pourtant 30 francs pour la publication de la seule notice, et 55 francs s’il veut y ajouter un portrait, prix que conteste alors F. Arnaudin qui rappelle à Carnoy qu’il s’était engagé à la publier au tarif fixé initialement. Le prix de la reproduction d’une notice dans un autre dictionnaire de la collection dirigée par Carnoy est, quant à lui, de 15 francs.

[3Carnoy, 1896, p. 272.

[4Id., 1905, n.p. à la fin du volume.

[5Latry, 1999, p. 167 : « Il serait trop long de vous expliquer ce qui s’est passé depuis des années. Trois éditeurs successifs se sont démis, ont dû liquider pour cette collection dont je n’étais que le Directeur littéraire. Moi-même y ai perdu et du temps et du travail et de l’argent. »

[6Latry, 1999, p. 164.

[7Ibid., p. 168.

[8On remarquera qu’Henry Carnoy, picard d’origine et folkloriste, entretenait une affinité particulière avec le sujet des deux premiers volumes qu’il a publiés dans cette série.

[9Carnoy, 1903, p. VI.

[10Id. s. d., p. VI.

[11Id., 1903, p. VI.

[12Latry, 1999, p. 18 ; 163-164 ; 167-170.

[13Ibid., p. 18.

[14Carnoy, 1902, p. V-VI.

[15À l’exception de celle d’A. J. Tesson, dont le nom est suivi immédiatement d’une croix, symbolisant sa légion d’honneur, puis d’une autre, rappelant son décès.

[16Carnoy, 1902, p. 153-158.

[17Ibid., p. 40.

[18Cf. l’hommage d’Henri Gaidoz à Rolland en 1888 dans le t. IV de Mélusine, lorsque ce dernier décidera de quitter la co-direction de la revue quelques années après sa « résurrection » de 1884 : p. 1-4. Effectivement, il semblerait difficile, voire impossible, de s’effacer derrière les matériaux davantage qu’Eugène Rolland, qui parvient à présenter de manière si concise l’œuvre gigantesque qu’est Faune populaire de la France – et dont il pense ingénument en 1877 qu’elle sera achevée en cinq volumes ! – en une page à peine.

[19Carnoy, 1902, p. 40.

[20Latry, 1999, p. 167.

[21Carnoy, 1905, n. p. en fin de volume.

[22Id., 1902, p. 160.

[23Id., 1903, p. 247-248 et Latry, 1999, p. 165-168. Arnaudin a remis la forme définitive de cette notice à Carnoy dès juillet 1900. Ce dernier la juge « parfaite » et lui promet alors qu’elle figurera dans le Dictionnaire des folkloristes. Pour des raisons qui demeurent inconnues, il ne tiendra pas cette promesse.

[24Il s’agit de celles d’Henry de Charencey ; de Paul de Beaurepaire-Froment ; de Pierre Delcourt ; de Caix de saint Aymar ; d’Henri Léon Feer ; d’Eugène Verrier ; de René de Kerviler et de celle d’Henry Carnoy qui, elle, est publiée presque à l’identique.

[25Aucune date n’est indiquée dans le volume.

[26Carnoy, s. d., p. 76-77.

[27Ce sont J. F. Nicolay ; J. Curé ; J. J. Christillin ; J. Duc-Teppex ; A. Orain : G. Haon ; J. F. E. Mareuse ; J. C. Tauzin ; L. N. de Saint-Cyr.

[28Ce sont G. M. A. Carnoy, frère d’Henry Carnoy ; Y. Dufor ; L. Frechotte ; L. S. Fugairon ; L. M. Jacquot ; E. Le Marant de Kerdaniel alias J. Plemeur ; J. M. Meunier ; A. C. A. Nicolas ; J. Schéblé ; P. Toutain ; J. B. Weckerlin.