In 1878, Gaston Vuillier entered the Hachette bookstore for the first time. He was welcomed by Edouard Charton, the creator, in 1833, of Le Magasin Pittoresque, the first illustrated weekly magazine in France and, in 1860, of Le Tour du Monde, a magazine of travel stories. Charton invited him to publish in Le Magasin pittoresque. Two years later, he drew for the LeTour du Monde, or rather, he redrew since his work essentially consisted of sketches, watercolours and photographs brought back by travellers. In 1887, Emile Templier, Louis Hachette’s son-in-law, invited Gaston Vuillier to travel alone, writing texts and drawing views. For twelve years, he was a painter-traveller: from Andorra to Tripoli, via the Balearics, Corsica, Sardinia, Sicily, Tunisia and Limousin, he travelled to the countries he chose. His stories appeared serialised in Le Tour du Monde and then in albums. He is one of the most highly regarded illustrators in Paris.
Gaston Vuillier. The Travels
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Les danses sur la place publique
Publié dans “Le Val d’Andorre”, Le Tour du Monde, 1888, p.81-112.
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Les arbres de Minorque
Publié dans “Voyage aux Baléares. Minorque et Cabrera”, Le Tour du Monde, 1889, p.225-288.
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Le jeu du coq
Publié dans Les îles oubliées, les Baléares, la Corse et la Sardaigne, impressions de voyage, Paris, Librairie Hachette, 1893.
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La malansa du cochon
“Souvent, dans la journée et le soir même, j’ai vu, en pleine rue, tuer les cochons, les flamber, les découper, en faire des boudins et autres charcuteries. La rue appartient à tout le monde, chacun s’y installe et exerce son industrie sans s’inquiéter des passants.”
Publié dans Les îles oubliées, les Baléares, la Corse et la Sardaigne, impressions de voyage, Paris, Librairie Hachette, 1893.
Les articles sur les Baléares ont tout d’abord été publiés dans Le Tour du Monde en 1888 et 1889. -
Le flambage du cochon
Publié dans Les îles oubliées, les Baléares, la Corse et la Sardaigne, impressions de voyage, Paris, Librairie Hachette, 1893. Les articles sur les Baléares ont tout d’abord été publiés dans Le Tour du Monde en 1888 et 1889.
“Souvent, dans la journée et le soir même, j’ai vu, en pleine rue, tuer les cochons, les flamber, les découper, en faire des boudins et autres charcuteries. La rue appartient à tout le monde, chacun s’y installe et exerce son industrie sans s’inquiéter des passants.” -
La fabrication des boudins
Un soir, Vuillier s’étant égaré dans les rues débouche sur une place. « Un homme, une femme, je n’ai pas pu le savoir tout d’abord, s’est installé au milieu. Ce personnage plonge une énorme fourchette dans un grand chaudron où bouillonne un liquide. La fumée l’enveloppe et lui donne une apparence de sorcière de Macbeth. De temps à autre les flammes s’élèvent et viennent lécher les bords noircis de la marmite infernale. La fourchette remonte avec un grand chapelet de boudins jaunes, arrosés de safran. Un moment leur propre poids les fait se rompre, une partie tombe à terre. L’homme, car c’en est un, allume une lanterne avec une braise qu’il prend au foyer, et sur laquelle il souffle, ramasse les morceaux tombés, et les remet vivement dans la marmite sans les avoir essuyés."
Publié dans Les îles oubliées, les Baléares, la Corse et la Sardaigne, impressions de voyage, Paris, Hachette, 1893. Les articles sur les Baléares ont tout d’abord été publiés dans Le Tour du Monde en 1888 et 1889. -
La Sardaigne, un dimanche
Publié dans “La Sardaigne”, Le Tour du Monde, 1890, p.145-224.
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Les porcs au carcan
Publié dans “La Corse”, Le Tour du Monde, 1891->, p.209-288.
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Le Vocero
« Etrange spectacle que celui de ce cadavre en vêtement d’épousée, qui semble célébrer ainsi son union avec la mort, rigide et jauni dans la blancheur immaculée de la couche où il repose, entouré de femmes graves, drapées de noir, immobiles comme des fantômes et dont plusieurs ont laissé retomber sur leurs épaules des chevelures aussi sombres que les ailes des corbeaux ! ... Une vocératrice, toute pâle, la chevelure flottant au vent, improvise un chant funèbre, interrompu, de temps à autre, par les sanglots des assistants. « Ecoute, dit-elle en chantant, penchée sur le cadavre : (...) ».
Publié dans “La Corse”, Le Tour du Monde, 1891, p.209-288.
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La lugubre chevauchée
“Un vieillard, vêtu d’un grand pelone, se dressait comme un fantôme sur un cheval tout frémissant et comme épouvanté. Ce vieillard allait rigide, la tête haute, les yeux clos et le visage très pâle : c’était un cadavre (...)”.
Publié dans “La Corse”, Le Tour du Monde, 1891, p.209-288.
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La sorcière corse
Publié dans “La Corse”, Le Tour du Monde, 1891, p.209-288.
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Le minaret de la grande mosquée Zitouna.
Publié dans La Tunisie, Tours, A. Mame et fils, 1896.
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Cavalier tunisien
Publié dans La Tunisie, Tours, A. Mame et fils, 1896.
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Jeune fille tunisienne
Publié dans La Tunisie, Tours, A. Mame et fils, 1896.
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La sorcière tunisienne
Publié dans La Tunisie, Tours, A. Mame et fils, 1896.
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Le peintre des charrettes.
Au printemps 1893, Gaston Vuillier part en Sicile. A Palerme, il rencontre, le docteur Giuseppe Pitré, folkloriste renommé, qui attire son attention sur les charrettes peintes qui parcourent les rues de la ville.
Publié dans La Sicile. Impressions du présent et du passé, Le Tour du Monde, n° 67, Paris, Hachette. Quatre livraisons, p. 1-16 ; 17-32 ; 33-48 ; 49-64. Edité en un volume, Paris, Librairie Hachette, 1896.
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La charrette sicilienne.
Au printemps 1893, Gaston Vuillier part en Sicile. A Palerme, il rencontre, le docteur Giuseppe Pitré, folkloriste renommé, qui attire son attention sur les charrettes peintes qui parcourent les rues de la ville.
Publié dans La Sicile. Impressions du présent et du passé, Le Tour du Monde, n° 67, Paris, Hachette. Quatre livraisons, p. 1-16 ; 17-32 ; 33-48 ; 49-64. Edité en un volume, Paris, Librairie Hachette, 1896.
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